FÊTES

Dans tout l'année on célèbre des différents événements et fêtes. Chaque paroisse (division ecclésiastique typique galicienne) a ses propres fêtes religieuses:

à Cariño

• Pèlerinage de S. Xiao, dans le village de O Trebo, le dernier Samedi de

Janvier.

• As Angustias, le 1er  Dimanche de Juillet.
• O Carme, le 15 et le 16 Juillet. Le 16, c'est la procession maritime la plus longue        d'Espagne vers le Cap Ortegal.
• S. Bartolo, le 24 Août.

à A Pedra

• San Antonio, le 13 Juin
• Nosa Señora (Notre Dame), le 15 Août
• A Milagrosa, le 2eme Dimanche de Juillet, à Figueiroa

Feás

• San Pedro, le 29 Juin
• Os Remedios, le 2eme Dimanche de Septembre

Sismundi

• O Carme, le 1er Dimanche d'Août

Landoi

• O Santiago, le 25 Juillet

A part des fêtes religieuses, on célèbre des événements importants comme par exemple le Entroido (Carnaval), en dates variables au début de l'année avec une grande attachement à Cariño ; le Repichocón, fête folklorique organisée par A.C. San Xiao do Trebo, à la fin du mois de Juillet ; la Fête Gastronomique de la Caldeirada (ragoût de poisson) et aussi de la Sardine « Lañada » , le premier Samedi d'Août , où on y dégusterez des plats typiques de Cariño ; la Mostra de Teatro Galego de Cariño, la plus ancienne de la Galice, où on y peut voir les pièces de théâtre en galicien les plus réputés de la région, on des dates variables à la fin du moi d'Août, entre autres.  

Cet important aussi souligner l’existence de la Danza de Arcos de Cariño, avec une origine incertain, c'est une ensemble de danseurs emportant des arcs avec des rubans à couleurs, que réalisent des différents danses au son de la musique de cornemuse. En origine composé uniquement par une chiffre impair de pêcheurs hommes, intègre actuellement des femmes et des hommes comme danseurs.  Ils sont habillés totalement en blanc, avec des rubans à couleurs dans l'épaule de gauche, en portant une bande à couleurs croisé de droit à gauche et un drap à fleurs dans la taille. Celui qui est avant, nommé guía (guide), est en charge de synchroniser les mouvements avec le dernier, nommé cola (queue). Ces deux danseurs se distinguent du reste parce que ils portent un Mantón de Manila (châle). Cette danse a eu porté à autres villages de la Galice, comme par exemple Camariñas, pour des pécheurs de Cariño qui ont déménagé là bas, et la coutume s’ancre dans ces villages.